• matériel : projet AirCasting/AirBeam ⇒ le même en moins cher ?
• export des données : étude code AirCasting
• stockage des données : protocole AirCasting ou autre ???

• 6 personnes présentes
• dont un couple intéressé par le projet, qui n'est pas dans les 2 quartiers visés par l'expérimentation.

La plupart des présents n'avait que peu d'informations ⇒ VinCiv, qui a assisté aux réunions du comité technique, a rappelé les infos qu'il avait.

Pierre a rappelé les expérimentations ayant eu lieu cet été. Il estime qu'il faut des tests plus longs (3 mois) pour savoir quelles sondes sont valables.

Examen du boîtier AirBeam prêté par la MCE ⇒ sonde mesurant les particules fines + sondes de température et d'humidité.

Pierre a décrit les soucis intervenus lors des expérimentations, avec les difficultés à capter le réseau LORa au niveau de la station St-Yves d'Air Breizh (choisie pour comparer les données obtenues par les boîtiers AirBeam et Air Quality Egg et les valeurs mesurées précisèment par Air Breizh).

Certaines données ont pu cependant passer sur le serveur derrière le réseau LORa et il y a eu ensuite des difficultés à récupérer ces données sur le serveur.

Un examen des spécifications techniques d'une carte LORa pour Arduino fait apparaître un très bas débit : 100-1200 bps. Ce pourrait être un problème (surtout avec un boîtier AirBeam mesurant toutes les secondes).

D'un autre côté, ce mode d'émission permet un boîtier totalement autonome

• un smartphone connecté en bluetooth pour l'AirBeam
• un RaspberryPi collectant les données de l'Arduino pour les envoyer par WiFi/Ethernet dans d'autres configurations

Pour des expérimentations longue durée (et pour les boîtiers finaux), il faut pouvoir alimenter le système et stocker les données sur une longue période ⇒ des batteries et une carte SD à grandes capacités.

Jacques, le chargé de mission de la MCE, nous avait aussi passé une sonde NO² commandée plus tôt.

À l'examen de ses spécifications techniques, qu'avait Pierre, il apparait qu'il lui faut une carte amplificatrice de signal pour la brancher à un Arduino.

Une discussion s'engage sur la meileure façon de procéder à la validation des différentes sondes ⇒ voir plus loin les décisions prises à ce sujet.

VinCiv avait téléchargé le code de l'application Android, qui contient aussi les fichiers Arduino. Les présents ont notamment pu examiner le code du Air Beam.

Le code fait une boucle et lit les valeurs sous forme analogique pour toutes les sondes. Le programme fait une moyenne sur les données PM qui nous a semblé bizarre ⇒ on s'est demandé comment fonctionne la sonde, sans réponse (pas de connexion internet dans la salle).

Nous n'avons pas traité ce sujet.

Nous estimons qu'il serait bien que Gulliver teste différentes sondes pour chaque type de polluants (NO², CO, PM,…) mais qu'il faut procéder progressivement :

• faire une station de base Arduino + une sonde, pour s'assurer qu'on maîtrise la récupération de données. Pierre et PseudoGaetan ont des cartes Arduino qu'ils proposent de fournir. Il faudrait que Gulliver se procure une ou deux sondes
• faire une station de test autonome pouvant être installée quelques mois près d'une station Air Breizh, et équipées des différentes sondes à tester (2 ou 3 par polluant) ⇒ une ou plusieurs cartes Arduino + un RaspberryPi pour la collecte et le stockage + une collecte régulière faite en passant par un membre de Gulliver (téléchargement de proximité par WiFi ou Bluetooth)
• faire un prototype de station avec le code Arduino qui va bien et les schémas de montage, ainsi que le système d'export des données, pour les particuliers qui voudraient faire leur station eux-mêmes, à partir des sondes sélectionnées et validées