Oeuvres Libres - Une étude de cas
Le Jeu Fricsol
Ce jeu éducatif a été développé par le Conseil Général des enfants d'Ille&Vilaine, pour promouvoir les principes des finances et de l'économie solidaires.
Plus d'informations :
- http://www.ille-et-vilaine.fr/soutenir-la-creation,91339,fr.html (bas de la page)
Pourquoi cette étude de cas ?
La libération d'une oeuvre pose des problèmes auxquels il serait bon que Gulliver ait des solutions à proposer.
Par ailleurs, dans le cas où Gulliver souhaiterait préconiser la libération d'une oeuvre à un organisme, celui-ci nous opposera des questions auxquelles il serait bon que nous ayons pensé, afin d'y répondre au mieux.
Dans le cas d'une personne venant solliciter des conseils à Gulliver sur ce sujet, nous devons avoir réfléchi aux problèmes potentiels, aux précautions à prendre, et savoir que dire (et ne pas dire).
Dans ces trois cas, une meilleure connaissance du sujet est nécessaire au sein de Gulliver. Certains d'entre nous ont des réponses, et la meilleure façon de les rendre disponibles est de les “publier”. L'étude de cas proposée, à savoir “la libération du jeu Fricsol”, est une bonne base de travail pour cela : l'économie solidaire est proche de nos préoccupations, la diffusion du jeu pose certains problèmes que sa libération résoudrait, le contenu (noms, logos) et le développeur (Conseil Général) du jeu amènent des questions caractéristiques de ce type de démarche.
Travaux
Ils se font dans le cadre de l' Atelier Oeuvres Libres.
Les séances de l'atelier sont ouvertes à tous, et annoncées sur l' agenda de Gulliver et l'Agenda du Libre.
Notes du 10 novembre 2009
Vincent a assisté à une des présentations du jeu Fricsol faites au Conseil Général 35, 3 avenue de Cucillé.
- les cartes “Financeur” portent sur des organismes réels (qui ont d'ailleurs financé le jeu en collaboration avec le CG35), et comportent leur nom, leur logo, ainsi que des critères d'attribution de financement réalistes. Quelles implications ?
- quelques questions sur les finances solidaires nécessitent encore une ré-écriture ⇒ intérêt de la libération.
- les concepteurs sont multiples : jeunes du Conseil des jeunes, employés du CG35, société ARPLAY Editions pour les graphismes (éditeur actuel du jeu)
- dans le cadre de ce Conseil des jeunes, ceux-ci ont conçu d'autres jeux (dont un sur la répartition de l'eau, qui serait basé sur des chaises).
- le CG35 reçoit des demandes de réédition en grandes quantités. Intérêt de la libération.
- le développement et la mise au point du jeu ont pris 3 ans, et impliqué une centaine de testeurs. Ce n'est pas rien !
- une personne de l'UDAF (membre de la MCE comme Gulliver) était présente. L'UDAF a développé un jeu sur les pièges du crédit, sans pouvoir le distribuer compte-tenu des coûts d'édition. Ils seraient donc potentiellement intéressés par notre démarche.
Etat des connaissances
TODO